Pauvre mère, victime des pervers
qui te font des misères
De maudits hommes d’affaire qui
se cachent en humanitaires
Et des humains inconscients ou
pervertis qui laissent faire
Pire ils cautionnent ces crimes
pensés dans les labos de l’enfer
Un monde où les bouts de choux n’ont
même plus droit à une enfance
Ils deviennent des jouets de la
plus odieuse des délinquances
Les pédophiles sont protégés
par les politiques, la justice et les médias
Et même par ceux qui disent défendre la nature !
Et voilà comment par envie folle
du désir l’humain sacrifie son futur
Comment ne pas voir en prophètes ceux qui disent « pas de futur »
Les profanes sont choqués et
certainement ne comprennent pas
Normal ils ne s’informent pas
ou refusent de voir la réalité en face
Pour la raison, le bon sens, la
justice dans les cerveaux il n’y a plus de place
Car ton enfant humain veut tout
avoir d’un claquement de doigt
Il exploite tout avec avidité
et sans aucun égard pour toi
Donc pour lui, mais les forces
de la conscience l’ont abandonné
Même pas capable de réfléchir
même quand par les coups de la vie il est sonné
Mais chère mère tu es la plus
forte et tant pis s’il ne le comprend pas
Tu lui as envoyé tant de signes
mais apparemment il ne les voit pas
L’eau source de vie par son
incurie est devenue source de mort
On ne compte plus sur terre les
morts d'espèces et les êtres vivants au triste sort
Mais les humains viennent de toi et te
retourneront
Comme ceux victimes en Asie d’un
puissant Tsunami
La sale manie qu’ont tes
enfants de céder à leurs odieuses envies
Font qu’ils ne voient plus le
mal qu’ils te font et finalement se font
L’horloge tourne et toi qui
porte la vie tu en produiras toujours
Quant à nous et bien bientôt de
disparaître viendra notre tour
Je demande ce que tu retiendras
de nous, ces êtres qui te font tant souffrir
Mais je suis sûr que quand nous disparaîtrons
tu retrouveras enfin le sourire
Car d'êtres comme nous je ne suis pas sûr qu'il y en ait pire !
Car d'êtres comme nous je ne suis pas sûr qu'il y en ait pire !
Le fils de la terre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire