Le
choc des mots pour exorciser le choc des maux
Le
monde va mal et certains essaient de faire passer pour beau
Ce
qui est d’une laideur insoutenable démontrant leur fond
L’espoir
fond et c’est le règne absolu des cons
Certains
se moquent de moi parce que je prie un Dieu invisible
Mais
trouvent crédibles des cons qui en Irak ont traqué des armes invisibles
Et
oui c’est le monde d’aujourd’hui un spectacle grotesque
Une
farce odieuse que ne renierait aucun auteur burlesque
Sauf
que derrière cette comédie des gens perdent la vie
D’autres
se voient obligés de fuir villes, villages et pays
Et
les pyromanes se jouent les hypocrites qui veulent du bien
A
leurs comptes en banque sûrement, j’espère que tu vois le lien
Si
t’es le maillon faible ils t’écraseront pourtant sans aucune pitié
Car
obsolète dans leur système où seul l’utile est plébiscité
Ils
appellent le mal le bien et se pâment devant tant de souffrances
Sous
France de gauche le bien-être et l’espoir sont en souffrance
La
vérité est tournée vers elle-même et crois-moi elle m’aime
Car
je suis de ceux qui font tout pour qu’elle essaime
Et
si certains essaient, jamais ils ne la sèment
Eternelle
et immuable comme le maître qu’inlassablement elle sert
Et
si les repas sur terre sont amers, les justes attendent patiemment le dessert
Et
savent que le maître qu’ils servent jugera tous en temps opportun
Et
les bons actes qu’ils ont posés n’auront pas été inopportuns
Dire
tout haut ce que certains pensent tout bas
Noir
ou toubab les prédateurs partout tu en trouveras
Fils
du diable, êtres minables qui se prennent pour des dieux
Mais
la justice immanente les ramènera aussi bas que leurs esprits odieux
Le
choc des mots pour exorciser le choc des maux
Dire
que le monde va bien tu sais que c’est du pipeau
Et
pourtant il y a tant de belles choses ici-bas à faire
Mais
pour réussir dans ce monde pourri ont doit le taire
Ecraser
sa conscience et faire confiance à des maffieux
La
démocratie, une farce, car avec rien ne va mieux
Une
matrice pour égarer les esprits passifs, naïfs
Tels
ceux qui dans des manifs pétris d’espoirs fictifs
On
les pousse dans des révolutions colorées
Moins
que les gay pride, mais toutes aussi manipulées
Le
résultat n’est jamais bon, ni beau mais ces cons y croient toujours
Les
beaux jours deviennent rares et le ciel est rempli de vautours
Par
des tours de passe-passe on fait chuter des tours
Des
cendres desquels émergera à nouveau celle de Babel
Et
tant pis pour ceux qui croient que c’est une histoire virtuelle
Des
flots de migrants envahissent les pays soumis corps et âmes au capital
Aucune
de leurs capitales ne saurait échapper à ce mouvement anormal
Infernal,
machiavélique qui résume à quel point ce monde est pourri
Prédit
par Marx, mais il fallait taire tout ça aux endormis
Et
bien voilà le beau monde qu’on leur a promis
Qui
permettent toujours aux mêmes de se remplir les poches
Car
ce monde semble condamné à entendre toujours le même son de cloche
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