Le combat sans fin

Journaleux, journalopes, très forts pour jouer sur les mots

A vous croire que ce qui est odieux est bon et beau

On vous traite de racistes et de complotistes quand vous êtes antisystème

Car à la saine réflexion ils veulent mettre un terme

Ne se rendant pas compte que c’est eux qui ont rendu populaires certains insoumis

Car ils sont tellement soumis qu’ils ne sont plus qu’une armée de fourmis

Qui obéissent sans réfléchir à ce que leur dit leur maîtres

Mais ignorent-ils que la bêtise et l’inconséquence sont des traîtres

On a beau vouloir étouffer la vérité elle ne cesse de renaître

Car il y a des choses qui dépassent l’entendement humain

Comme le fait que le soleil se lèvera encore demain

Alors mentez, trompez, autant que vous voulez

Il y aura toujours des gens pour rire aux blagues de Dieudonné

Votre fric ne pourra jamais tout acheter

Comme le bonheur que l’on ressent quand on est parent

Pour vous tout ce qui ne vous est pas apparent est transparent

Soit restez dans votre monde illusoire à promouvoir tout ce qui est sale

Vous vous retrouvez un jour nus, seuls et avec que dalle

Votre combat est aussi vain que d’empêcher le soleil de se lever

D’empêcher les belles âmes de s’élever car ceci est déjà acté

La Russie vous la haïssez, mais les russes aiment leur Poutine

Pour vous dire que dans vos pieds il y aura toujours de rudes épines

Redevenez humbles car jouer sur les mots ne vous sauvera pas

Bien sûr certains tomberont dans vos pièges, mais tous ? Certainement pas !  

Quand je dis à certains que j’étais à mort pro-étasunien

Ils ne me croient pas et pensent que je me paie leur gueule

Car ils n’ont connu de moi que celui qui donne de puissants coups de gueule

J’ai toujours dis ce que je pensais et cela ne changera jamais

Car autrement je ne pourrais jamais avoir ce que je recherche à savoir la paix

Appelez-moi raciste, fasciste ou complotiste je dirai toujours ce que j’ai à dire

Qu’en ai-je à foutre que vous me haïssez et que vous passez votre temps à me maudire ?

Souffrir ? Une vie sans souffrance n’a pas de sens

Je parle comme je pense et j’ai pleinement conscience des conséquences

Je crois en des choses belles, en des choses saines et mon esprit n’a pas de limite

Et je vois les poutres de votre système être rongées par des termites

Attachées à la vérité j’ai avec moi des millions de personnes

Leur rage comme un tonnerre tonne et leurs cris de dégoût résonnent

La vérité sur Hollywood se fait jour et telle une idée d’inception fera son chemin

Certains ne voudront pas se réveiller mais Dieu merci si c’est le cas pour quelques-uns

Ce qui est bon et beau, demande du temps, de la passion et de l’amour

Je sais que mon esprit sera libre un de ces jours

Peu importe vos tours aussi sales que de faire s’effondrer des tours puis des pays

Vous nous avez assez nui et malgré tous vos efforts jamais nous ne serons anéantis !

Mon poing est ganté de noir et inlassablement je continuerai le combat

Et même après ma mort mes mots dans les consciences saines ne s’effaceront pas

Le guerrier noir